Surnom(s) :Nana ou Naly Âge : 18 Nationalité : Francaise Lieu de naissance : Toulon Emploi/études : Danseuse dans un pub et étudiante dans une école de danse Orientation sexuelle (facultatif) : Plus qu’important, c’est considérable. Les hommes bien sûr !

• Budget (élevé, normal, faible + précisions) : En fonction du revenu que veux bien lui donner son patron, normal mais après avoir payé l’école dans laquelle elle étudie, son revenu est faible
• Réputation (bonne, moyenne, mauvaise + précisions) : Aucune mais si elle devait en avoir une ce serait surement une bonne pour les garçons qui la regarde danser et une mauvaise pour les filles qui l’envie.
• Réside à la pension depuis (nombre d'années) : cette année
• Raison (voyage, études, manque d'argent...) : Étude et éloignement familial.
• Aime : Les fraises (non, elle n’est pas enceinte >.<). La chantilly. En réalité, tout ce qui est sucré. En matière de personne, elle aime la franchise. Elle aime rire et s’amuser.
• N'aime pas : Le noir (elle s’imagine plein de choses). Les gens qui ne sont pas tolérants.

Un seul mot ne suffirai surement pas pour me décrire mais si je devais le faire je dirais joyeuse parce que j’aime m’amuser. Mais attention je n’ai pas toujours bon caractère. Et si je devais choisir une expression pour me définir se serait «Quand on me cherche, on me trouve». Je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds. Je porte une grande importance au respect des autres ainsi qu’à celui qu’on m’accorde.
Mis à part la danse, j’ai toujours été bagarreuse. Oui, je sais, je n’ai absolument pas la carrure pour. Et la danse ayant affiné mes gestes, personne ne me prends au sérieux lorsque je préviens que je ne suis pas si fine que ça. Je ne suis pas une battante comme les autres, je connais simplement les techniques d’autodéfense («Pas besoin de savoir se battre, connaitre les points sensible suffit»). Mais cela a toujours suffit pour me faire respecter où que je sois.

De taille moyenne avec un corps bien proportionné pour ne pas être vulgaire. Je ne manque pas d’attirer l’attention. Mais par dessus tout, je me fais surtout remarquer pour ma chevelure d’une couleur spéciale... J’ai les cheveux blancs et je n’ai que 18 ans et pourtant ce n’est pas une teinture. C’est une anomalie génétique ou en tout cas, c’est ce qu’on dit les médecins. Mais j’aime ma différence. J’en fais ma force. Quoi de mieux pour pimenter la vie ? Ça a toujours agrémenté mon envie d’aller vers les autres.
Mes yeux ayant aussi un couleur plutôt anormale, je m’amuse parfois à fixer les gens. Il arrive même que l’on me demande si je ne porte pas de lentille de contact. Non, pas que mes yeux fassent peur mais ils sont si différents que parfois un simple regard suffit pour que des personnes fassent demi tour. Mes yeux sont rouges par nature. Mon corps fabrique ses propres pigments rouges, je ne sais pas pourquoi j’ai cette différence mais je vis avec.

J’aime faire savoir que je suis là. Et je n’hésite pas à hausser le ton si une personne m’énerve. Mais si par malheur, un homme me parle d’amour, je file en courant comme si j’en étais allergique. Les mots 'je t'aime', je connais pas. Je n’ai jamais été amoureuse et je ne pense pas que l’on «tombe» amoureux, je pense que l’on devient amoureux. Et c’est pour cela que j’y fais attention. J’ai vu trop de mes amies tomber en «lambeaux» après une rupture amoureuse. J’ai donc toujours papillonné, de mec en mec. Et je ne compte pas m’arrêter puisque j’ai changé de pays. Et vivre dans une pension me permettra surement de faire des rencontres. De mes faire des amies, filles ou garçons. Et des amants, héhé.

Quant à mes habitudes vestimentaires, je passe le plus clair de mon temps en bustier et en short ou en pantalon de cuir noir. J’aime la provocation !

La danse...
Voilà ce qui a toujours guidé ma vie. J’ai eu la chance d’avoir le droit de me permettre des cours de danse en activité extra-scolaire. Mes parents ayant des moyens plutôt aisés, je n’ai jamais eu de soucis d’argent pour en payer les frais. J’ai appris toutes sortes de danse. De la danse de salon comme le tango à la danse du ventre. Celle là donne chaud à ceux qui me regarde la faire. Ainsi que la danse classique, je fais toujours des choses qui m’étonne en danse. Je me laisse porter par la musique, par les rythmes qui m’emportent dans d’autres mondes.
Mes professeurs de danse m’ont toujours dit que j’excellais dans ce domaine et que j’étais prédisposée à faire un boulot dans la danse. Même à être sous les feux des projecteurs.
Je n’ai compris que vers 16 ans que c’était toute ma vie, que tous mes professeurs ne disaient pas cela pour me faire plaisir. Mes parents l’ont pris très mal, ils m’ont même empêché de retourner à mes cours. Pendant deux ans, deux longues années, j’ai essayé de leur expliquer ma passion. De leur faire comprendre que je ne vivrais pas sans ça. Je voulais retrouver la danse que mes parents m’avaient interdit, et je voulais encore plus. Je désirais que ces cours fassent partit de mon cursus, je savais très bien qu’il y a des écoles qui enseignent la danse.
Mais mes parents ont tout fait pour que je m’enlève «cette idée de la tête». Ils avaient la pensée qu’ils allaient me marier avec un riche héritier de je ne sais où. Je ne suis pas un objet ! J’ai refusé bien sûr, mais la confrontation a été des plus effrayantes. Mon père m’a secoué comme un morceau de viande en me criant dessus et ma mère à regarder la scène effaré. Il voulait aussi que j’étudie des matières ennuyeuses comme la physique...
La vie a été vraiment dure mais je tenais le coup, dès que j’avais un moment de libre, je m’envoyais en l’air à défaut de pouvoir danser. Pas avec n’importe qui, avec quelques sex friends que je m’étais fait dans l’école que mes parents m’avait envoyé. J’aime faire ça mais par dessus tout, ce que je préfère c’est aguicher. De prendre l’attention des hommes, de leur donner des envies et du plaisir. J’aime toucher les gens lorsque je leur parle, surtout les hommes, hum... Tâté un peu la marchandise. Après tout, eux aussi me considèrent comme un morceau de viande. Mes parents ont très mal pris le fait de voir beaucoup de garçons arrivés dans la maison en peu de temps.

C’est pour cela que j’ai quitté la maison familiale. J’ai claqué la porte un matin. J’ai quitté la France. Prenant le premier billet de bateau pour l’Angleterre, je ne me souciais pas de la langue. J’ai toujours été bilingue. Ma mère était française et mon père anglais, cette deuxième langue a toujours été naturelle chez moi. Dès mon arrivée là bas, j’ai tout fais pour me trouver un travail. Un mec d’un pub m’a de suite embauché en tant que danseuse. Le rêve !
Je me suis inscrite dans une école de danse, désirant toujours augmenter mes connaissances sur la danse ainsi que mes capacités. J’ai choisis une école des plus renommés et j’ai compris peu de temps après pourquoi elle était si renommé. Les personnes qui sont dans cette école sont dans une classe aisé. Ce que je n’ai plus la chance d’être depuis que j’ai quitté le nid familiale. Presque tout mon salaire du pub passait dans l’école. J’ai donc demandé à mon patron de travailler encore plus au pub. Ce qu’il ne m’a pas refusé. À présent je fais des shows sur scène ainsi que des shows plus intime (si ce mettre à moitié nue peu se traduire comme cela) avec seulement un homme. Je gagne le double de ce que je me faisais alors. Mais ce n'est pas toujours un salaire flamboyant. J'ai simplement de quoi me payer une chambre dans cette pension que j'ai trouvé par hasard et tout ce qu'il me faut pour vivre bien sur.

Surnom : Cal’ Sexe : Fille Âge : entre 16 et 23 ans, ça dépend des moments. Personnage sur l'avatar : Moka Akashia Comment avez-vous connu le forum ? Par un partenariat Avez-vous lu le règlement ? Ma première réponse est non, j’avoue, mais maintenant je dirais plutôt «Bonjour, je suis Robert». Autre chose ? Venez danser avec moi !

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